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Cette semaine, la crise s’est cristallisée autour de la fourniture par l’Iran de gaz aux pays européens qui se sont montrés réticents à y renoncer et de la décision, vendredi 6 juin, de Donald Trump de renoncer à l’accord sur le nucléaire iranien. Pour la première fois, le président américain a dénoncé l’«intransigeance» de Téhéran et a lancé une mise en garde à l’adresse du régime. Il a demandé aux dirigeants du Golfe à cesser la «provocation» de la part de l’Iran, tout en promettant des «actions» à son encontre.

·Il a demandé «de cesser la provocation et de ne pas recourir à des actes dangereux contre des ressortissants iraniens dans la région».

Il a également demandé à l’Iran de «prendre des mesures pour réduire ses capacités nucléaires». Selon lui, l’Iran «devra être traité avec la même fermeté que s’il cherchait à fabriquer une bombe nucléaire». Le président américain a promis que des «actions» seraient prises à l’encontre du régime iranien «afin de préserver la paix dans la région». Le président français a quant à lui évoqué la «responsabilité morale» des dirigeants iraniens.

Mais le régime iranien s’est montré moins accommodant que le président américain. Il a dénoncé des «attaques à la bombe» contre des installations iraniennes dans le sud du pays, tout en assurant que ces explosions ne portaient pas atteinte aux «vies et aux infrastructures». Les responsables iraniens ont en outre promis que la riposte serait «destructrice».

Il a aussi appelé à une «véritable désescalade», soulignant que les «mensonges et les mensonges» ne mènent à rien.

Avant l’annonce de la décision de Trump, Téhéran a indiqué qu’il ne reviendrait pas sur sa décision d’arrêter de fournir du gaz à l’Europe à partir du 1er juin.

En réaction, l’Iran a indiqué qu’il continuerait à acheter du pétrole et du gaz à ses partenaires européens. Mais le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a mis en garde : «La guerre n’apportera rien à la paix, ni à personne».

Dans la foulée de cette déclaration, Téhéran a annoncé qu’il cesserait la fourniture de son brut à la France d’ici fin juillet.

Par ailleurs, les ministres des Affaires étrangères des pays du Golfe se sont réunis vendredi 6 juin au matin en Egypte, pour discuter de la crise du détroit d’Ormuz.

Ils ont fait part de leur «satisfaction» face au «partenariat stratégique» établi entre l’Iran et les Etats-Unis, et ont «salué» l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien, ainsi que les «mesures prises pour mettre fin aux violations» de l’accord.

Pour le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, la crise du détroit d’Ormuz est «très sérieuse». Selon lui, la décision du président américain «ne peut que provoquer une panique» et un «chaos» dans la région. «Nous sommes très inquiets des répercussions que cela pourrait avoir sur la paix et la stabilité au Moyen-Orient», a-t-il ajouté.

De leur côté, le secrétaire général de l’ONU et le patron de la CIA ont appelé les deux protagonistes à cesser la «provocation». «Nous sommes profondément préoccupés par la désinformation, les appels à la violence et les menaces d’attaques» contre l’Iran», ont souligné le secrétaire général de l’ONU et le directeur de la CIA.

A noter que l’Arabie saoudite, qui a annoncé jeudi 5 juin qu’elle allait fermer son point de passage avec le Yémen, a dit espérer une «paix» dans la région.

Sous pression des Européens, qui sont des importateurs importants de pétrole iranien, Téhéran a déclaré vendredi qu’il arrêterait ses exportations de brut si les livraisons occidentales de gaz dans la région venaient à cesser. Il est le deuxième importateur mondial de gaz, après la Russie.

Il a aussi demandé aux pays de la région de «s’unir» contre «l’intransigeance» de Téhéran.

Les 5 membres du Conseil de sécurité de l’ONU se sont réunis vendredi 6 juin à huis clos pour tenter de trouver une solution à la crise. Le secrétaire général de l’ONU et le patron de la CIA ont appelé les deux protagonistes à cesser la «provocation».

Le Conseil des ministres des Affaires étrangères du Conseil de sécurité s’est réuni en urgence vendredi 6 juin à New York. Le communiqué final indique que «les ministres ont souligné la nécessité urgente d’agir pour mettre fin aux déséquilibres et aux tensions qui alimentent la crise dans la région, en particulier dans le golfe Persique».

Le 22 mars, un navire iranien chargé de 1,5 million de barils de pétrole avait été arraisonné au large d’Oman, avec à son bord 1500 personnes qui protestaient contre le «détournement» du pétrolier par des trafiquants de drogues.

Le Conseil de sécurité a décidé de suspendre le survol de l’Iran par les avions civils et de réduire les importations de pétrole iranien.

Les pays de l’UE, qui assurent 40% du brut iranien exporté, ont réagi à cette suspension en annonçant qu’ils allaient réduire de 50% leurs exportations de pétrole iranien.

Un groupe de ministres du pétrole européen s’est réuni vendredi 6 juin en urgence à New York.

Selon le groupe de ministres du pétrole de l’Union européenne, il s’agit de la suspension «des exportations de brut et de condensats de pétrole iraniens». Selon les analystes, cette mesure est la plus significative à ce jour de la part des Européens.

Les ministres du pétrole du groupe des pays de l’OCDE ont annoncé la semaine dernière qu’ils allaient réduire de 50% leurs exportations de brut. Cette mesure devrait prendre effet le 15 juin.

Selon l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, le groupe des pays de l’OPEP a décidé vendredi 6 juin d’augmenter sa production de pétrole à 30 millions de barils par jour en 2019, contre 26,5 millions de barils la semaine dernière.

L’Arabie saoudite a annoncé qu’elle allait augmenter sa production de pétrole de 1 million de barils par jour en 2019 pour la porter à 11 millions de barils.

Elle a également annoncé une réduction de 500 000 barils par jour de la production iranienne de pétrole pour les 12 mois à venir.

Le 7 juin, les Etats-Unis ont annoncé qu’ils suspendaient pour 6 mois leur programme de subventions, qui leur permettait de vendre du pétrole iranien aux pays qui le souhaitent.

En réponse, l’Iran a annoncé qu’il cesserait de fournir du pétrole à l’Europe à partir du 1er juin.

Les Etats-Unis ont également décidé de mettre fin à la vente de gaz naturel à l’Europe et annoncé qu’ils suspendaient le traité de libre-échange avec l’Arabie saoudite.

Les pays européens ont également annoncé qu’ils suspendaient la vente de gaz naturel liquéfié aux Etats-Unis.

Ces mesures interviennent alors que les négociations avec l’Iran sur son programme nucléaire et l’accord de Vienne sur le nucléaire sont au point mort.

Le 7 juin, le secrétaire général de l’ONU et le directeur de la CIA ont appelé les deux protagonistes à cesser la «provocation».

Le 18 mai, le secrétaire général de l’ONU et le directeur de la CIA ont de nouveau appelé les deux protagonistes à cesser la «provocation».

A noter que la Turquie et le Koweït ont, eux aussi, annoncé jeudi 5 juin leur décision de suspendre leurs exportations de pétrole iranien.

La France a également annoncé qu’elle cesserait ses livraisons de gaz à la Turquie.

La réunion des ministres des affaires étrangères de l’UE a donné lieu à une déclaration commune publiée par le président français et la chancelière allemande Angela Merkel.

Ils ont estimé «totalement inacceptable» la décision de Washington de suspendre ses exportations de pétrole et de gaz à la Turquie.

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